La mer est le lieu même, aporétique, de l’émergence du visuel et de la diffraction infinie du visible, le lieu des formes naissantes, de l’ébauche sans fin, du balbutiement, du babil des formes, de l’intégrité défaite, dispersée sur les flots.
Clélia Nau , Claude Lorrain: scaenographiae solis, éditions1: 1(ars),2009, p.84