(…) …depuis lors, la solitude ne me fait plus souffrir, parce que je sais que mon rédempteur existe, et qu’à la fin il se lèvera sur la poussière. Si je pouvais entendre toutes les rumeurs du monde, je percevrais le bruit de ses pas. Pourvu qu’il me conduise dans un lieu où il y aura moins de galeries et moins de portes.
Borgès
Pas de détours. J’aime la peinture qui fait face. J’aime l’aborder de front, sans les lignes de fuite d’une vue perpective.
Pierre Soulages, Pierre Soulages, Outrenoir. Entretien avec Françoise Jaunin, Lausanne, la bibliothèque des Arts, 2012, p.45.